Magazine Rolling Stone Janvier 1988 (Archives) Suite
Pour cette interview George est au calme, assis à une table dans un petit restaurant français élégant à Londres. Il est vêtu d'un pull noir, une veste
noire, pantalon noir, mocassins noirs, chaussettes blanches, il porte un anneau d'or épais, à son doigt avec son surnom familial Yog, pas de boucles d'oreilles. Il mange du poulet, boit du vin
rouge et il rit beaucoup. Il peut se permettre de rire, il est toujours assailli par les fans, c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il à une demi heure de retard pour le dîner, car une fan se
trouvait devant chez lui, trop intimidée pour lui adresser la parole, elle a cependant laissée ses deux gros chiens lui faire une quantité de mamours.
Pour revenir à son album "Faith", George pense que si quelqu'un n'aime pas quelque chose sur cet album, il n'a pas le droit de dire qu'il aime la musique Pop. Il parle des tabloïds Britanniques (ils écrivent sur moi de la même manière qu'ils écrivent sur Joan Collins et la famille Royale). George est ouvert, engageant, une franche conversation s'est établie, un compagnon de dîner amical. Bien qu'il ne faut pas longtemps pour comprendre que s'il est ouvert, engageant, plein de franchise et d'amitié c'est parce qu'il sait que c'est bon pour les affaires....... a suivre
Pour revenir à son album "Faith", George pense que si quelqu'un n'aime pas quelque chose sur cet album, il n'a pas le droit de dire qu'il aime la musique Pop. Il parle des tabloïds Britanniques (ils écrivent sur moi de la même manière qu'ils écrivent sur Joan Collins et la famille Royale). George est ouvert, engageant, une franche conversation s'est établie, un compagnon de dîner amical. Bien qu'il ne faut pas longtemps pour comprendre que s'il est ouvert, engageant, plein de franchise et d'amitié c'est parce qu'il sait que c'est bon pour les affaires....... a suivre